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l'homme paré

21 décembre 2010

Apres l'image, la voix

Jusqu'où peut mener la passion!
Invité à une émission de radio sur IDFM 98 fm, je fus soumis à la question par Ollia Horton Georges, dont le patronyme ne peut me laisser indifférent.
Venue d'une contrée lointaine, hémisphériquement opposée, Ollia anime, de sa toute britannique douce voix, l'émission HAPPY HOURS à 18h le lundi où bonne la humeur se mêle au désir d'en savoir plus sur l'invité pour un moment de partage tapissé de sourires.

Aussi voici l'annonce de son émission:

Happy Hour lundi 29 novembre 2010 18h-19h en direct sur Idfm98 – Radio Enghien www.idfm98.fr

Ollia invite :

Un homme aux mille visages…et une garde-robe d’enfer !

Poète, philosophe, bretteur hors-pair, répondant du "tac au tact", voyageur d'en France, auteur radiophonique et créateur d'accessoires de mode…Térence Carbin est l’homme aux mille visages.

Intéressé par des croisements des cultures en particulier les histoires autour de l’immigration et les langues…Térence est producteur et animateur d’une série d’émissions pour la Cité Nationale de l’histoire de l’immigration qui s’appelle « Composition Française – Identité Remarquable » diffusé le premier lundi de chaque mois à 10h sur Aligre FM.

Et son histoire ne s’arrête pas là ! Jetez un coup d’œil sur son blog « l’hommeparé » et vous avez en face un homme millefeuille ! Un vrai caméléon…j’ai découvert que Terence aime les costumes du 18eme siècle et il en fabrique lui-même. Il participe à des journées spéciales comme le pique-nique annuel au château de Vaux-le-Vicomte…, et habillé en Chevalier Saint George, il a même reçu le prix du plus beau costume en 2007 !

Animateur d’une émission aussi sur Idfm – Radio Enghien «qui s’intitule « Bourlingues en France »  – Térence vit à son propre rythme… il est même écrit quelque part que "en un mot il est tout et il n’est rien. Sa vocation ? L'INUTILE ! "

Qui est Terence Carbin, vraiment ? A vous d’entendre – sur Idfm98 – Radio Enghien www.idfm98.fr

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En téléchargement l'émission du lundi 29 novembre 2010 ici

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28 juin 2010

A Vaux l'eau?

Troisième dimanche de juin.
Comme d'habitude, les passionnés de costumes "grands siècles" avaient rendez-vous à Vaux le Vicomte. Le ciel ce jour-là menaçait de se déverser de larmes sur les perruques, rubans et autres dentelles. Bagatelles!
16h. La fraîcheur était supportable sous tant de couches de tissus. Le millefeuille vestimentaire tombait à pic pour les hommes, mais de mauvais aloi pour ces dames obligées de cacher leurs appâts sous des capes ou des mantelets. Le froissement des robes tout de même gardait son rang dans ce concert de falbalas et la chaleur revint pour le défilé à mille lieux d'un défi laid.
Le grand escalier fut investi par les parures et parements, masques et chapeaux, cannes et rubans. Fut remis à l'ordre du jour le concours d'élégance sous la houlette de nos hôtes:
le plus beau costume dans la catégorie homme, femme, famille et créatif.
Fin de jour. Chacun est reparti après avoir passé un dimanche sans pluie et ravi de la chaleur de se retrouver toujours.
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14 juin 2010

Une balade-conférence enchantée

    J'en ai rêvé et je l'ai fait.
    Il suffisait d'entraîner avec soi des passionné(e)s avides de savoir. Et Saint-George était là par l'entremise d'un soleil radieux, tellement incertain les jours précédents.
    On ne devrait jamais avoir de bonnes idées car elles risquent de se réaliser! Ainsi d'une visite sur les pas du chevalier dans un Paris du 18ème siècle.

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    Nous débutâmes, en ce soleil endimanché de légèreté, notre pérégrinatio sancti georgio place de l'Hôtel de ville 2 heures après midi en tentant de nous faufiler parmi badauds et carrioles à moteurs, nous engouffrant dans la rue des Archives. Nous fîmes une halte au 24, devant l'église des Billettes qui, outre sont cloitre, accueille le siège de l'association "Le concert de monsieur de Saint-George". (Rendons hommage à Alain Guédé d'avoir été de ceux qui ont milité et obtenu une rue du chevalier de Saint-George dans Paris)
    Quelques pas plus loin, nous voilà dans la cour des archives nationales, autrement dit l'hôtel de Rohan-Soubise en lequel Saint-George dirigea le Concert des Amateurs, une des plus importantes formations musicales de ce temps. Le temps de rappeler cet épisode, et nos oreilles commencèrent à percevoir quelques trilles... venues d'une des arcades de la cour: ô surprise! Le Quatuor Antarès, par une magie (un peu commandée) nous fît entendre des compositions de Joseph. Ce petit concert fut l'occasion de faire résonner la musique de Saint-George dans un des lieux où il a fait sonner son violon. C'était le moindre des hommages à offrir à la postérité.

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    Nous partîmes à nouveau de bon chemin par la rue Rambuteau, passâmes devant le centre G. Pompidou, glissâmes par les jardins des Halles jusqu'à l'église Saint-Eustache. Ici, évocation fut faite de l'opéra Ernestine donné en présence de Marie-Antoinette le 19 juillet 1777 sur un livret de Pierre Choderlos de Laclos et une musique de Saint-George. Mais l'histoire d'Ernestine est tirée du roman éponyme de Marie-Jeanne Ricoboni écrit en 1763. Et Madame Ricoboni fut baptisée et est enterrée à Saint-Eustache. DSC00828
   Adepte des hasards objectifs et des coïncidences, à la manière d'André Breton (qui est aussi le nom d'une des allées empruntées dans ces jardins des Halles), j'évoquai le poête, et voilà que LA  rencontre eut lieu, surréaliste et réelle, surréelle et réaliste: ce clown s'écria en me voyant: "Joseph? Saint-George? Oh bah si j'mattendais! et s'éloignant guillerettement "Joseph, c'est Joseph, c'est Saint-George..." DSC00831
    Passage par la bourse et la "tour de Catherine de Médicis". Evocation du l'édit de Nantes et du protestantisme et sa révocation en 1685, la même année que la promulgation du "code noir"...

    Après quelques pas rue du Louvre, nous bifurquâmes rue Saint-Honoré et nous retrouvâmes nez à nez face à l'Oratoire, temple protestant important mais ce qui nous intéressa ici c'est le numéro 152 en face de l'Oratoire. C'est là que Saint-George devint le dieu des armes sous la houlette de Texier La Bouëssière qui y tenait sa salle d'arme. DSC00836
    En deux enjambées, nous fûmes derrière le ministère de la culture en passant par la rue Monstesqieu, la place de Valois et nous accédâmes au Palais Royal loti au 18ème siècle par un proche de Joseph: le duc d'Orléans. Occasion pour nous de s'arrêter à l'arcade n°18, lieu d'habitation du chevalier dans les années 1780. (ici j'aurais voulu y proposer une démonstration d'escrime, mais cela est soumis à une autorisation préalable contraignante) DSC00839 DSC00840

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   Au sortir du Palais Royal rue Montpensier, il fut bon de rappeler le théâtre Montpensier en lequel s'illustra Saint-George, théâtre devenu aujourd'hui Théâtre du Palais Royal.
   Clopin-clopant, nos pas nous menèrent à la pyramide du Louvre, et nous fîmes halte quelques instants pour repartir de plus belle rive gauche en passant par le pont des Arts. DSC00846

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    Après l'Institut de France, nous sillonnâmes en ces ruelles hautement fréquentées par Joseph dans ce faubourg et quartier Saint-Germain: rue Mazarine, rue Dauphine, rue Guénégaud dans laquelle séjourna Notre héros, "face la monnaie" pour seule indication, rue Christine, rue de Savoie et rue Saint-André-des-Arts.DSC00858

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    Halte là! Aujourd'hui, à l'angle de la rue de l'Éperon et Saint-André-des-Arts se trouve le lycée Fénelon. Mais ici se trouvait l'hôtel particulier dans lequel Georges Bologne, Nanon et Joseph vécurent au sortir du territoire de la Guadeloupe près de 10 ans. Toute la prime jeunesse du chevalier de Saint-George est là. C'est, somme toute, le berceau de Joseph à Paris. C'est là que la vie parisienne de Saint-George a débuté. DSC00860

    Du début, un seul pas nous fit franchir la fin: la Révolution Française que nous abordâmes dans le passage de l'ancienne comédie (cours du commerce St André), mieux en prenant le temps d'un bon chocolat au Procope, lieu révolutionnaire s'il en est. Premier café de Paris dans lequel se réunissaient les faiseurs de révolte avant que cela ne prît mauvaise tournure et que certaines têtes ne tombassent par trop de zèle. Nous ne perdîmes pas la nôtre, au contraire elle fut remplie de la joie et du plaisir de partager une histoire, et quelle histoire: celle du chevalier de Saint-George. DSC00871

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Joseph Bologne chevalier de Saint-George (Guadeloupe 25 décembre 1745, Paris 10 juin 1799)

11 mai 2010

le 13 juin 2010 à 14h, Saint-George à Paris

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Balade-conférence sur les traces du chevalier de Saint-George

    Mal partir n'excuse pas d'arriver mal!

    Le 13 juin 2010 à 14h00, une conférence vous est proposée sous la forme d'une promenade dans Paris.
C'est l'occasion pour chacun de rencontrer un des plus éminents personnages de l'histoire de France: Joseph Bologne de Saint-George. Escrimeur, musicien et galant homme, son influence et sa renommée furent considérables; inimaginable au 18ème siècle pour un homme de couleur. En effet, né d'une mère esclave et d'un père planteur, son destin était scellé par le "code noir": d'une esclave tu es né, esclave tu resteras!
   Mais voilà, les dieux des Arts se sont penchés sur son berceau...
    En partant sur les traces du chevalier dans Paris, vous découvrirez ses lieux d'habitations, ses lieux de loisir et de plaisir, la salle d'escrime où il s'entraîne, les endroits où il donne ses concerts. Car il côtoie les plus grands comme le duc d'Orléans, Marie Antoinette ou le prince de Galles. Ses mélodieuses compositions, essentiellement au violon, hantent l'air des salons parisiens; il est joué partout. Sa destinée musicale est à l'inverse de celle de Mozart: vivant il est tant joué; mort il est oublié.
    Sa vie est une aventure. En perpétuel mouvement, il se dépense, va ici alors qu'on l'attend là, compose, se bat et s'amuse; va à Londres, aime ou s'engage dans la Révolution en tant que colonel du 13e chasseur à cheval; on l'admire, on le déteste ou le jalouse, mais son talent surmonte bien des barrières, notamment celle de l'épiderme. En cela la vie du chevalier de Saint-George est exemplaire. Il était mal parti, et pourtant...
    Aujourd'hui une rue de Paris porte son nom; ce n'est que justice rendu à un homme qui a tant fait pour son pays.
    Rendez-vous donc ce dimanche 13 juin 2010 à 14h pour rendre hommage, par une visite vivante, à un des plus grands hommes du 18ème siècle et commémorer l'anniversaire de sa mort survenue le 10 juin 1799.

Rendez-vous donc à 14h place de l'hotel de ville Paris 4eme

Deux biographies faisant foi

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5 octobre 2009

Un jour au musée

    Il peut arriver de faire des choses que l'on ne veut garder pour soi. Parfois, le faire-savoir est nécessaire pour certains projets à défendre, nécessaire pour se positionner vis-à-vis de soi et des autres.
     Défendre un projet, une idée, demande de s'engager... ou d'être engagé dans tous les sens de l'acception: aussi me voilà engagé... pour tourner dans un film très court mais utile pour mettre la lumière sur une institution neuve (oct. 2007) par les voies nouvelles que sont les médiums numériques.
     En allant sur le site dailymotion, on peut visionner le fim "un jour à la Cité".
     Ou alors cliquer sur
dailymotion.com/cite_histoire_immigration

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     BONNE VISITE

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30 septembre 2009

Chat alors!!!

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Il s'appelle Pitsy.
Non jamais un chat ne m'a fait tant plaisir
Par cette manière un peu chien d'être chat
Suivre, tendre l'oreille, se mettre au pied
Répondre à mon appel au doigt et à l'oeil
Ronrrrrronnnnnnner sous mes caresses...14901486_16945570

Il s'appelle Pitsy, à décidé de me quitter
Mais la vie est faite de liberté de la liberté
De s'en aller au diable ou ad patres...14901487_27743343

Il s'appelle Pitsy
Noir est sa robe
Vert son oeil
mi-clos lorsqu'il me regarde
Et quémande mon regard

Le petit bout de la queue du chat14901479_2165168
Ne passera plus par ici,
Mais il est passé par là,
Un ailleurs indéfini, ou définitif...

24 juin 2009

Un pique nique en très grand siecle

21 juin 2009, fête des pères, jour du solstice sous de bons auspices, le soleil s'invita pour nous tenir compagnie et magnifier les photographies. Nous sortîmes dentelles, falbalas, chapeaux, perruques, poudres, mouches, plumes, bottes, escarpins, robes, redingotes, habits à la française, couleurs, étoffes et damassés, soies et taffetas... Tous ces accessoires s'étaient donnés la main pour s'encanailler à Vaux le Vicomte.
Une fois n'est pas costume et une plume ne fait pas un ange mais l'ambiance fut urbaine et allègre avec une certaine aménité nonchalante, comme si on n'en revenait pas d'être là en ce jour entre gens de bonne compagnie. Les visiteurs hors costume en eurent pour leur souvenirs, surtout pour ceux venus de loin - je pense à ce couple italien qui se demandait si c'était comme ça tous les dimanche.
Oui c'est comme ça tous les dimanche... si on le veut, si on le VAUX.

A L'ANNEE PROCHAINE!

Mais en attendant quelques photographies

Oh la belle bleue!!!

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Déjeunons sur l'herbe!

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Mais comte, qui sont ces gens?

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Et eux que regardent-ils tous?

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Mais qu'attendent-ils? Un ange?

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AAAAAAHHHH!!!!! C'est lui!

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ENFIN!!!

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Tout ça pour faire le PAON!

1 février 2009

En création... Récréation

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En ces jours d'hiver durant, je me recrée en créant. Je crie, j'écris; J'écris; j'écris. Et l'écrit tue, tant que dure l'écriture...

4 décembre 2008

Encore un signe du chevalier de Saint-George

     Le 12 décembre, sur la chaîne de télévision France Ô (service publique), à 20h40, diffusion du spectacle du génial Bartabas qui eut lieu à Versailles en 2004 et intitulé: Le chevalier de Saint-Georges, un Africain à la cour.
     Outre mon admiration sans borne pour ce personnage haut en couleur (oui j'ose), je n'en aurais pas parlé, ayant déjà évoqué ce Monsieur plus avant, si la diffusion de ce spectacle équestre n'intervenait le jour de mon anniversaire, le 12/12.
     J'y vois là un signe de complicité par delà les âges entre nous, un événement du hasard qui n'a que l'importance que j'y porte, comme les surréalistes ont mis en apposition le rêve et la réalité.
     Permettez-moi, cher chevalier, de vous renouveler ici ma reconnaissance de dette, car j'emprunte sans vergogne votre panache pour caresser les naseaux de ceux qui s'enrhument de l'air du temps délétère et préfèrent mordre plutôt que d'admettre leur tort.
     Je le redis ici: la frontière entre l'intime et l'extime, entre le dedans et le dehors n'est pas la peau mais le vêtement. La plupart de ceux qui, par esprit métonymique, réduisent autrui à sa peau (colorée ou non) oublient que la partie n'est pas le tout. L'important est invisible, inatteignable. D'où le désir des loups d'atteindre les chiens enchaînés à leur maître là où le bât blesse -la peau-, ces derniers ayant investi dans la seule richesse qu'ils estimaient posséder. Piège. Ils y sont tombés la tête la première: séduction du brillant, miroir aux alouettes. Les voilà pris au piège du visible. 
     Ma reconnaissance admirative pour vous Joseph de Saint-George pour avoir fait rimer INVISIBLE et INVINCIBLE. En toute chose, vous fûtes ADMIRABLE. Je m'efforce de suivre votre exemple.
   Rendez-vous 12 jours plus tard, le 25, jour de votre anniversaire. Ce mois de décembre est vraiment riche de Lumières.

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29 octobre 2008

La Beauté a une histoire

     Au terme d'une lecture édifiante, je referme le livre de Georges Vigarello ravi et perplexe pourtant.
Histoire de la beauté, le corps et l'art d'embellir, de la renaissance à nos jours, ed. Seuil 2004.
     Je possédais l'ouvrage depuis sa parution; sa lecture fut récente. Ravi je le fus d'apprendre la césure entre le haut, magnifié à la renaissance et le bas qui pris sa place à la fin du XIXeme. Ravi de saisir que l'harmonie était dévolue à une beauté venant de dieu, donc la perfection était recherché; nous étions dans l'idéal: le grand ordonnateur n'a pu que créer l'humain parfait, on recherchait le nombre d'or de la beauté. Ravi d'être contemporain d'une beauté individualisée mais aux codes pernicieux, car l'on est beau si l'on est en harmonie intime, mais la minceur sévit et amène sa cohorte de mal-être venue de ceux inconformes à ces nouveaux canons. Ravi que des nouveaux codes sexuels ont féminisés les hommes et masculinisés les femmes. Ravi d'apprendre que le cinéma, surtout américain, à redimensionné les esprits dans le sens d'une beauté à conquérir par l'effort personnel; si je suis moche, c'est de ma faute.... Ravi de cet apprentissage et je ressors frustré de cette lecture. Pourquoi? Trop de références, de renvois à des notes en fin d'ouvrage, peu d'exemples... Mais devrais-je attendre autre chose d'un manuel universitaire, car c'est de cela dont il s'agit.
     Aussi recommanderais-je tout de même le livre de G. Vigarello car le balayage historique est là bien que le XXeme soit plus mince, surtout la fin du siècle.
Donc HISTOIRE DE LA BEAUTÉ, le corps et l'art d'embellir, de la renaissance à nos jours, Seuil.

15 septembre 2008

j'ai demandé à la Lune suite...

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Depuis le mois de mai où je relatais mes frasques vidéasques, le résultat est là et bien là;
pas besoin de tirer à la ligne, il suffit de cliquer ICI

Pour en savoir plus sur cette artiste lune'air myspace.com/lunebox
Et de qui sont les costumes? (trop fastoche)

1 juillet 2008

Palais de la porte dorée redorée

   Chance ou opportunité, la conception d'un uniforme pour le palais de la porte dorée à Paris 12ème me fut confié.
   Après acceptation de l'équipe et de la direction, on lança le projet autour du 10 avril 2008. Un impératif: que tout soit prêt pour le 06 mai à l'occasion de l'ouverture d'une exposition temporaire sur l'année 1931.
   Quelques nuits blanches et des journées à moto plus tard, L'exposition "1931" à pu ouvrir avec des agents habillés et fin prêt.

   Pour concevoir cet uniforme, l'inspiration m'est venue par le désir de sortir de la traditionnelle couleur noir utilisée dans les habits des agents d'accueil, et de l'observation du lieu. Ce palais art déco, à la tonalité marron, possède un parquet dans sa salle centrale à lames de différentes couleurs. L'idée était de reprendre ces codes sur l'uniforme. Comment? sur un des côtés et en faire une poche. J'y ai inclus la référence "dorée" par un galon de couleur dorée sur une des manches ou sur les poches des gilets pour hommes. De plus, c'est un uniforme au ton général de couleur taupe plutôt discret qui s'intègre parfaitement à ce lieu devenu depuis le 10-10-07 la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration.

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La tenue homme à été modifiée en une veste droite sans col avec deux poches dont une avec les codes couleurs.

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Rendez-vous 293 avenue Daumesnil, Paris 12ème, métro Porte Dorée pour en voir et en savoir plus.
A voir http://www.histoire-immigration.fr

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l'homme paré
  • L'homme paré : Création de costumes et d'habits "théâtraux" pour se parer, se vêtir de couleurs et d'art(ifices) au quotidien; être soi jusqu'au bout des possibilités du vêtement pour refléter son individualité joyeuse et flamboyante. L'habit fait le MOI.
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